Oubliez Deezer et Spotify ! Cette plateforme française 100 % indépendante propose un son de bien meilleure qualité et paye en moyenne ses artistes 0,018 € par stream

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Le streaming musical a révolutionné notre manière d’écouter de la musique, mais derrière les playlists et recommandations personnalisées, un paradoxe persiste : la majorité des Français ignore comment les artistes sont rémunérés.

Pourtant, certaines plateformes commencent à afficher plus de transparence, et une génération entière semble prête à revoir ses habitudes pour soutenir ceux qui créent la musique qu’elle aime.

 

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Le prix reste roi… mais la rémunération des artistes gagne en importance

Une étude menée par YouGov révèle que 70 % des Français choisissent leur plateforme avant tout en fonction du prix de l’abonnement. Viennent ensuite :

  • La facilité d’utilisation (63 %)
  • La richesse du catalogue et l’absence de publicité (58 % chacun)
  • La qualité audio (56 %)

Je découvre seulement maintenant que le choix de ma plateforme peut vraiment impacter ce que touche l’artiste… ça change complètement ma manière d’écouter.Camille, 28 ans, étudiante

Pourtant, 78 % des Français avouent ne pas comprendre comment les artistes sont rémunérés par ces plateformes.

Cette méconnaissance explique pourquoi la transparence reste un critère secondaire : seulement 15 % en tiennent compte pour faire leur choix.

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Une demande croissante de transparence

Face à ce constat, 47 % des Français souhaitent que leur plateforme affiche plus clairement la rémunération des artistes, une proportion qui atteint 68 % chez les 25-34 ans.

Certaines plateformes, comme Qobuz, ont commencé à publier publiquement le montant reversé par stream aux ayants droit, offrant une vision plus claire du partage économique.

Cette démarche pourrait influencer fortement le choix des utilisateurs :

  • 44 % des Français se disent prêts à changer de plateforme si celle-ci garantit une meilleure rémunération des artistes
  • 40 % accepteraient de payer un peu plus pour soutenir les créateurs

Les 18-34 ans, moteurs de transformation

La génération des 18-34 ans apparaît comme le moteur potentiel d’une évolution du marché.

61 % de cette tranche d’âge seraient prêts à changer de plateforme pour une meilleure rémunération des artistes, contre 44 % en moyenne. Et 60 % accepteraient de payer jusqu’à 2 € de plus par mois pour soutenir un modèle plus équitable.

Si quelques euros supplémentaires peuvent aider les artistes à vivre de leur musique, je suis prêt à les payer. C’est une question de respect pour leur travail.Lucas, 23 ans, ingénieur

Cette sensibilité accrue pourrait, à terme, influencer l’ensemble des utilisateurs si les plateformes jouent le jeu de la transparence.

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Qobuz, pionnière française du streaming haute qualité, se distingue justement par son engagement à reverser davantage aux artistes et à publier son taux de reversement moyen par stream, offrant un modèle lisible et durable.

Vers un streaming plus éthique et transparent

L’étude met en lumière un décalage frappant entre le comportement des utilisateurs et leur désir de justice pour les artistes.

Les chiffres montrent qu’avec un peu plus d’information, la rémunération pourrait devenir un critère de choix déterminant, au même titre que le prix ou la qualité audio.

Au-delà de la simple curiosité, il s’agit d’une question de lien entre le public et les créateurs. Comprendre où va l’argent de chaque stream, c’est redonner du sens à l’acte d’écouter.

Dans un marché dominé par la gratuité et l’algorithme, la transparence, soutenue par des acteurs comme Qobuz, pourrait être le levier qui change tout.

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Antonin est journaliste spécialisé dans l’économie, les entreprises et les dynamiques du monde professionnel. Après quelques années passées en tant que responsable communication au sein d’un grand groupe industriel, il a choisi de mettre son expérience au service de l’information.

Habitué à décrypter les stratégies, les innovations et les transformations qui animent le tissu économique français, Antonin s’attache à rendre compréhensibles des sujets souvent perçus comme complexes.

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